Le stress post-traumatique chez les femmes et enfants victimes de violence conjugale/familiale est un sujet qui me tient à coeur.
Boris Cyrulnik écrivait que le traumatisme, c'est comme être mort. Mais comment expliquer cela à quelqu'un qui ne l'a jamais vécu? Parfois, les mots ne suffisent pas...
Il existe une frontière entre le monde "normal" et le monde des personnes traumatisées.
Trop souvent, les réponses des premiers intervenants ne sont pas adaptées à la réalité des victimes. Trop souvent, les familles ne comprennent pas les enjeux et se sentent impuissantes. Et trop souvent, les victimes se retrouvent, comme une double peine, isolées.
Je vous invite à lire mon travail mené dans le cadre de ma formation en environnements multi-sensoriels.
La piste Snoezelen est à explorer pour apporter un peu de bien-être et de douceur dans le quotidien des victimes et de leurs proches.
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